Revue de littérature #62

L'affaire Sam Altman - OpenAI n’est pas qu’un coup de théâtre dans la Silicon Valley, c’est aussi le révélateur des courants de pensée qui s’affrontent en Californie, et qui auront des conséquences sur notre quotidien à long terme. Podcast Avec 

• Olivier Alexandre Sociologue, chargé de recherche au CNRS (Centre Internet et Société)
• Gilles Moyse entrepreneur, Président de la société reciTAL, auteur de « Donnerons-nous notre langue au ChatGPT ? L’impact de l’IA sur notre avenir » (Éditions Le Robert, 2023) et docteur en intelligence artificielle

Le psychodrame Sam Altman - OpenAI n'est pas simplement un épiphénomène dans la Silicon Valley. Il constitue également un indicateur des tendances de pensée en conflit en Californie, des courants qui exerceront des influences durables sur notre vie quotidienne à l'avenir.

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Publication d'Hervé Le Crosnier, Enseignant-chercheur, spécialiste des communs numériques et éditeur-fondateur de C&F éditions, maison d'édition qui publie des ouvrages de culture numérique.

"Les étudiantes de la promotion 2021-2022 du master Métiers du livre et de l’édition de l’université de Caen m’ont proposé de reprendre le texte de la conférence d’introduction à la culture numérique que j’ai donnée en septembre 2021 à la licence Humanités numériques et d’en faire le petit ouvrage que vous tenez entre les mains. Je tiens à les remercier de leur intérêt."

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La direction interministérielle du numérique (Dinum) et le Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) ont récemment signé une nouvelle convention de partenariat le 21 novembre. Cette convention prévoit une augmentation significative des ressources allouées afin de rendre les outils numériques accessibles aux personnes handicapées qui travaillent pour l'État.

Par ailleurs, le gouvernement a récemment approuvé en conseil des ministres un nouveau régime de sanctions à l'encontre des administrations qui ne respectent pas les règles d'accessibilité. L'ordonnance récemment ratifiée donne à l'Arcom la responsabilité de contrôler le respect du référentiel général d'accessibilité (RGAA) et d'infliger des sanctions aux administrations en faute, commençant par une mise en demeure et pouvant aller jusqu'à une amende de 50 000 euros.

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